À nous de jouer !

DE

Manifestation contre la réforme de la loi sur le viol

le 17 avril (11h00)

EN L’ABSENCE DE CONSENTEMENT, C’EST UN VIOL !

Nous manifestons ce samedi contre le projet proposé par le Parlement concernant le viol. Ce projet de loi propose d’introduire dans le code pénal Suisse une infraction « d’atteintes sexuelles » qui concernerait les actes d’ordre sexuel commis contre la volonté d’une personne sans contrainte physique.

La peine, allant d’une amende à 3 ans de privation de liberté est bien plus légère que celle prévue actuellement dans la loi pour le viol de l’article 190.

Et pourtant c’est un fait indéniable : en l’absence de consentement, il s’agit bel et bien d’un viol et non d’une atteinte sexuelle !

Il est inadmissible qu’après tant d’années de lutte, le Parlement ose encore ignorer que les viols par contrainte physique ne constituent qu’une infime minorité des viols commis en Suisse. La plupart des victimes connaissent leurs agresseurs, elles entretiennent un lien de confiance avec eux.

Les cas d’incestes et de pédocriminalité qui ne sont pas des faits divers qu’on peut ignorer mais des crimes abondamment commis sont des cas représentatifs de viols sans contrainte physique.

Une majorité des victimes de viol sont en état de sidération pendant le crime, ce phénomène est bien connu des experts : dans cet état, les victimes se trouvent dans l’incapacité de réagir et de se défendre
Il est donc plus qu’évident que l’absence de contrainte physique ne sous-entend pas le consentement de la victime. Il s’agit bel et bien d’un viol.

De plus, ce projet de loi ne qualifie toujours pas les pénétrations anales et buccales comme étants des viols !

Nous crions donc NON à « l’atteinte sexuelle » ✊🏻

EN L’ABSENCE DE CONSENTEMENT, C’EST UN VIOL !

Nous manifestons ce samedi contre le projet proposé par le Parlement concernant le viol. Ce projet de loi propose d’introduire dans le code pénal Suisse une infraction « d’atteintes sexuelles » qui concernerait les actes d’ordre sexuel commis contre la volonté d’une personne sans contrainte physique.

La peine, allant d’une amende à 3 ans de privation de liberté est bien plus légère que celle prévue actuellement dans la loi pour le viol de l’article 190.

Et pourtant c’est un fait indéniable : en l’absence de consentement, il s’agit bel et bien d’un viol et non d’une atteinte sexuelle !

Il est inadmissible qu’après tant d’années de lutte, le Parlement ose encore ignorer que les viols par contrainte physique ne constituent qu’une infime minorité des viols commis en Suisse. La plupart des victimes connaissent leurs agresseurs, elles entretiennent un lien de confiance avec eux.

Les cas d’incestes et de pédocriminalité qui ne sont pas des faits divers qu’on peut ignorer mais des crimes abondamment commis sont des cas représentatifs de viols sans contrainte physique.

Une majorité des victimes de viol sont en état de sidération pendant le crime, ce phénomène est bien connu des experts : dans cet état, les victimes se trouvent dans l’incapacité de réagir et de se défendre
Il est donc plus qu’évident que l’absence de contrainte physique ne sous-entend pas le consentement de la victime. Il s’agit bel et bien d’un viol.

De plus, ce projet de loi ne qualifie toujours pas les pénétrations anales et buccales comme étants des viols !

Nous crions donc NON à « l’atteinte sexuelle » ✊🏻

du samedi 17 avril, 11h00 au , 0h0

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